THÉATRE YUNQUÉ

Siège social et administration :
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Presse

EXTRAITS DE PRESSE

Le Manteau, de Nicolas Gogol

C’est un étonnement et un émerveillement de voir Serge Poncelet se métamorphoser en autant de variations de jeu tout en restant un même corps menu et agile… L’extraordinaire magie de ce Théâtre Yunqué se résout en une très grande maîtrise portée par une passion intelligemment pensée et vécue de l’art dramatique… Tonnerre d’applaudissements. Comment saluer davantage un si magistral travail théâtral sinon en souhaitant que de nombreuses salles accueillent ce superbe spectacle.  (Jean-Pierre Haddad  Blog culture du SNES-FS)

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Pour ce seul en scène, la barre était donc très haute ! L’exceptionnel comédien et metteur en scène Serge Poncelet relève magistralement le défi. Il campe avec une subtilité magnifique le personnage d’Akaki  Akakiévitch employé modeste  et gratte-papier invisible dont la vie bascule lorsqu’il est obligé de remplacer son manteau vétuste… Le jeu de cet artiste est impressionnant par la profondeur des émotions exprimées allant du tragique au burlesque. Son passage chez Ariane Mnouchkine lui a donné les ailes d’un talent aérien et d’une interprétation dense. Il porte le génie du texte de Gogol et de sa dramaturgie poignante au sommet de l’art théâtral. Un spectacle à ne pas manquer dont on sort bouleversé et heureux…  (Anne Revanne   Sorties-à-Paris)

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Dans une scénographie minimale et pertinente : une toile, peinte par Anne-Marie Petit, évoquant la Neva et ses quais façon Marc Chagall, un bureau d’écolier mobile à surprises et quelques cintres, cela suffit… Serge Poncelet se lance, à cœur joie et en acrobate d’une maîtrise parfaite, dans les espoirs et désespoirs d’Akaki, comme dans les personnages du tailleur ou des collègues persifleurs. C’est un théâtre du corps, nourri du mime et du jeu de clown, dans l’outrance, l’énergie et la précision… Un théâtre physique, hors des modes, beau, non pas « comme l’antique » mais fondé sur une vraie tradition, celle qu’Ariane Mnouchkine revendique dans son film Molière, et ses spectacles… Une soirée pas ordinaire, forte et touchante avec, au centre, moteur de la performance, la voix de Nicolas Gogol.    (Christine Friedel   Théâtre du Blog)

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Une farce émouvante à l’Opprimé. Serge Poncelet joue de son talent pluriel. Il associe naturellement le personnage de Akaki Akakiévitch Bachmatchkine  avec celui du clochard de Charlie Chaplin. Et ce lien est épatant. Le comédien par son jeu évoque Charlot et il mime, grimace, explique, raconte, danse, singe la misère. Il offre sa voix et son corps pour incarner la lame tranchante de l’indigence qui déchire ; et formidable comédien, il bouleverse et fait rire son public. Ce manteau est un incontournable à (re)découvrir. Il vient aussi nous rappeler que l’un des plus grands écrivains russes fut ukrainien.
(David Rofé-Sarfati   Toute la culture)

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Serge Poncelet a adapté pour le plateau ce texte, et en a fait un passionnant moment de théâtre, co-mis en scène par Guy Segalen. Oui, véritablement passionnant. Le comédien m’a fasciné à incarner ce pauvre hère… Il nous fait immédiatement ressentir une forte empathie pour ce petit homme.
Le comédien, qui est un mime accompli, confère à son personnage une démarche à la Chaplin... On ne peut alors que se sentir proche de cet être misérable, comme s’il nous renvoyait tous autant que nous sommes à notre pauvre condition humaine. On pense également à Buster Keaton, un être inadapté dans une société féroce et sans compassion pour les plus faibles. Le comédien est également un sacré conteur, un diseur magnifique. Il sait tenir en haleine son public. Je défie quiconque de ne pas être captivé par ce qu’il nous raconte… Que d’énergie et de sueur dépensées, au sortir de cette heure un quart ! Quelle leçon de théâtre !
Je suis sorti du Théâtre de l’Opprimé très impressionné par cette entreprise artistique. De celles qui marquent pour longtemps les esprits !

(Yves Poey   De la cour au jardin)

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Avec son petit costume étriqué et toupet de petit clown blanc, Serge Poncelet fusionne avec bonheur tous les ressorts de son art, mime, clownerie, diction et mise en scène au cordeau. Il ballade le spectateur à un rythme diabolique de la commedia dell arte, au poème fantastique, des clins d’œil au cinéma muet au pathétique brechtien.  Il y met du Charlot dans le personnage pathétique, du Buster Keaton dans cette physionomie gauche, et du Sganarelle dans le fol espoir incarné par le manteau. De par sa force tellurique, l’incroyable prestation de Serge Poncelet et les enjeux réflexifs qu’il autorise, il faut voir ce spectacle au plus vite.       (Olivier Olgan Le Guay   Singulars)

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Cette fable qui brille par son étrangeté, est interprétée  avec talent et truculence par Serge Poncelet. Adaptant une gestuelle du corps, il imprime à ce personnage tout un faisceau de sentiments qui caractérise Akaki Akakievitch. Sa démarche, son phrasé nous font vivre ce pauvre hère trop fragile pour ce monde sans pitié. Croquant une galerie de personnages qui entourent Akaki Akakievitch, Serge Poncelet donne vie à cette nouvelle de façon inattendue. Nous devenons les témoins de la chute de ce personnage inventé par Nicolas Gogol, qui avait connu très tôt les affres de la bureaucratie.
(Laurent Schteiner   Sur les planches)

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Dans un jeu corporel, jouant sur la puissance des variations de la voix et des postures physiques, en une fraction de seconde, chaque personnage naît? assume? par une technique de jeu particulière qui lui donne sa personnalité?… Dans une fluidité totale du jeu, de la narration et des déplacements, apparaissent univers et personnages. Du marionnettiste à un meneur de jeu, du clown inquiètant à un personnage naïf et touchant, les personnages arrivent et disparaissent parfois dans la seconde. Passant du réalisme du récit, à l’inquiétude de la situation, jusqu’au fantastique de la fin, la pièce se déroule dans une atmosphère magique de créativité ininterrompue… Une poésie totale, une mise en scène magnifique et un acteur hors du commun...  Le manteau, un spectacle à ne pas manquer !
(Dany Tubiana   La SouriScène)

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Du début à la fin, j’ai savouré ce très joli spectacle, plein de découvertes. C’est beau, poétique, et ça dit les choses… A voir pour se rappeler que notre monde tourne encore en s’appuyant sur ces petites gens, invisibles, qu’on croise sans les reconnaître. Ce sont eux qui sortent les bagages des avions, qui trient les colis dans les entrepôts, qui alimentent les rayons des supermarchés, qui fabriquent… Oui, c’est un beau spectacle. Allez le voir. Pour la beauté et la poésie de sa forme, pour le jeu de Serge Poncelet. Allez le voir, sortez en réfléchissant, et, la prochaine fois que vous croiserez un invisible, souriez-lui.  
(Guillaume d’Azemar de Fabregues    Je n’ai qu’une vie)

 

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EXTRAITS DE PRESSE sur les précédents spectacles

Zakouski ou la Vie Joyeuse

Eric Prigent adapte pour la scène les récits d'un extraordinaire satiriste des premières années de la Révolution soviétique : Mikhaïl Zochtchenko. Une succession de petites saynètes croquent les tares de la jeune société révolutionnaire : bureaucratie, répression, nomenklatura et ordre militaire. L'œil de l'auteur russe est aigu et noir. Serge Poncelet transforme ces saynètes en une farce cruelle, digne de Gogol. Le travail sur le burlesque (masques, gestuelle) est excellent. (Sylviane Bernard-Gresh, Télérama Sortir)

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Le renouveau du théâtre russe des années vingt présenté dans une création originale et politiquement enthousiasmante… Serge Poncelet a conçu une mise en scène conjuguant de pair réalité et euphorie, sobriété et perversité, utopie et poésie. Quatre comédiens excellents dans leurs différentes interprétations successives… Zakouski ou la Vie Joyeuse, une très belle création pour une soirée radieuse. (Philippe Delhumeau, La Théâtrothèque)

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La nouvelle création du Théâtre Yunqué défie les règles classiques d’unités de lieu, d’espace et de temps pour faire exploser sur scène pas moins de 18 personnages qui s’enchaînent les uns aux autres comme par magie pour offrir aux spectateurs une sorte de kaléidoscope des années vingt en URSS. C’est une prouesse digne d’être saluée… Un régal pour les yeux quand les visages nus jouent aussi bien masqués. Restituer le fabuleux qui suinte de la comédie des mœurs, c’est un coup de pied au derrière à toutes nos prétentions. (Evelyne Trân, le monde.fr, 12/02/2012)

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Prenez donc un zakouski ! Cet hors-d’œuvre russe original que le Théâtre Yunqué vous concocte au Théâtre de l’Opprimé. Ce spectacle, qui propose ces mets atypiques, est un régal pour les yeux. Emmenée par quatre comédiens talentueux, cette pièce enlevée se déguste avec bonheur. Olga Sokolow interprète pas moins de six personnages avec une belle maitrise et une sincérité qui touche le public. Marie Duverger, étonnante en petit garçon, joue également différents rôles à l’instar de ses partenaires masculins, Eric Prigent et Stéphane Alberici contribuent à nous plonger dans une Russie du début du siècle dernier en apportant une véracité à leurs personnages. Un événement à ne manquer sous aucun prétexte. (Laurent Schteiner, théâtres.com, 13/02/12)

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Grand maître du burlesque, Serge Poncelet met en scène Zakouski ou la Vie Joyeuse d’après les récits de Mikhaïl Zochtchenko, satiriste méconnu en France. En digne héritier de Gogol, Zochtchenko dresse le portrait cruel et joyeux de notre société. (Le Parisien, 9/02/12)

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Les comédiens portent des demi masques et cet à priori, surprenant au début, passe ensuite très bien, tant cette stylisation (éloignée de tout psychologisme) sert l’approche de l’auteur : pour lui, nous avons affaire à des types humains, avec leurs manies, leur côté grotesque et si l’émotion survient, c’est sans pathos, sans surcharge… La scène des bains douches fait penser à Charlot ou à un Tati speedé… Magie du théâtre, efficacité des éclairages, qualité de la bande son (avec musiques russes) que demander de plus ? (Gérard Noël, Reg Arts, 14/02/12)

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La représentation fut chaleureusement saluée par l'ensemble des spectateurs, en particulier un jeune adolescent d'une douzaine d'années qui, à la sortie, dira à sa mère qu'il avait trouvé la pièce "géniale". Zakouski ou la Vie Joyeuse se révèle être une très bonne surprise, étonnamment moderne dans sa forme et dans son discours, voire toujours d'actualité même en démocratie. (Laurent Coudol, froggys delight)

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Burlesque. Le mot n'est pas trop fort. Et la découverte d'un auteur russe au verbe pétillant a de quoi, je vous le jure, enflammer les âmes. A savourer comme un de ces films de Chaplin où tout est affaire de relationnel, qui a la finesse du rire franc et libérateur. Jeu complexe et plein de trouvailles des quatre comédiens. (Alain Chêne, webmag regardezleshommesdanser n°120)

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Si vous n'avez jamais goûté aux zakouskis, je vous recommande ceux-là car ils sont fameux ! Spectacle burlesque, alliant le jeu direct à la gestuelle de la pantomime, destiné à tout public à partir de 10 ans.  Il existe plusieurs degrés de lecture du spectacle et par voie de conséquence, personne ne sera frustré. Surtout pas les enfants qui, parions le, s'en donneront à coeur joie car certains effets comiques se réfèrent à des codes que nous aurions eu bien tort d'oublier. Alors aucune hésitation, allez-y en famille puisque comme on dit " plus on est de fous, plus on rit ! " (Simone Alexandre, theatrauteurs.com)


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Macbeth 



Le grand mérite de la mise en scène et du jeu des acteurs est de rendre visible l’étouffement progressif de Macbeth et de sa femme. L’univers allégorique de la pièce de Shakespeare est rendu au service de deux thèmes universels, l’ambition et la culpabilité. Le pari orientaliste de la mise en scène, ainsi qu’une traduction originale du texte, apportent des éléments insolites réussis à cette pièce classique parmi les classiques. (www.lemonde.fr)

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Avec une mise en scène qui privilégie l'épure et la suggestion, Serge Poncelet parie sur le jeu des acteurs. Pas de psychologie des personnages pour autant mais une recherche visuelle qui s'inspire du cinéma muet et de l'expressionnisme allemand. A souligner la performance gestuelle des comédiens…
Loin des fastes du théâtre traditionnel, Serge Poncelet a choisi de nous raconter une histoire pleine d'images et parvient ainsi à réactualiser une oeuvre majeure de l'époque médiévale. (Evénement.fr)

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Parfaitement chorégraphiée, cette interprétation de Macbeth respire le respect pour la pièce de William Shakespeare. (Fluctuat.net)

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La mise en scène est remarquable. Les déplacements sont coordonnés, dansés, rythmés. Serge Poncelet a choisi de faire coexister un ensemble d’univers différents. L’Ecosse semble épouser par instant le Japon. Le décor. Simple. Naturel. Est fait de tulle, de bambous et de feuilles.

Les trois sœurs fatales colportent l’heur et le malheur de Macbeth. Avec une jubilation de l’instant présent.
De ce futur qu’elles dévoilent, elles ressentent une excitation, comme un délice. C’est une symphonie de voix pincées, chantantes. Presque enfantines. Avec en pied de nez une sorcière portant une barbe.

Tous les personnages semblent comme habités par une tension qui les pousse vers un point fixe dont ils ne peuvent se détourner.

(Théâtrorama)

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Mise en scène magique de Serge Poncelet – qui tient le rôle de Macbeth – Il adapte le récit à la manière du théâtre kabuki,
aidé en cela par le maquillage et les costumes.

On passe d’une situation à l’autre sans interruption de l’action par d’habiles changements et utilisation d’accessoires (tulle, feuillage, toile).
Eclairages et musique transportent l’univers glauque de l’action et des personnages dans un climat fantasmagorique. (ODB Théâtre)

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La folie du Théâtre Yunqué était de vouloir jouer les 22 personnages de Macbeth à 7 comédiens. Et ça marche ! On est captivé de bout en bout, y compris les adolescents… L’ambition, le remord, l’amertume, la haine paranoïaque, tout est là. Et parfaitement joué. Un régal. (En attendant)

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Une adaptation dépaysante de « Macbeth ». La pièce est admirablement interprétée par la troupe que mène Serge Poncelet. Cette version, originale, s’approprie le kendo, cet art ancestral du maniement du sabre. Leurs danses martiales se déploient sur un fond fantastique, embrumé de fumigènes. L’interprétation en ressort très chorégraphiée, grave par sa lenteur, très graphique.

La mise en scène puise à la fois dans l’imaginaire chrétien et les sabbats les plus obscurs. Ici, les trois « sœurs fatales » sont particulièrement inquiétantes. Ces pythies du destin contradictoire de Macbeth détonnent dans ce marais épais et lourd. Elles surgissent et disparaissent, laiteuses, vaporeuses.

La chute finale de Macbeth est pathétique. Le destin qui l’a porté se retire. La nature reprend ses droits face à une volonté humaine arrogante.

Au Théâtre de l’Opprimé, Shakespeare à la sauce manga est fantastiquement goûteux.

(Les Trois Coups)

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Nourris des influences du Nô et du Kabuki, mais aussi des brumes angoissantes du cinéma expressionniste, les décors et les costumes (très belle création de Marie Odin et Barbara Gassier) ne sont pas sans rappeler l’adaptation de Macbeth qu’avait fait Akira Kurosawa dans Le Château de l’araignée. (SNES)

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Les lumières de François Martineau sont remarquables, elles créent des espaces démultipliés, de véritables ponts entre le réel et le songe.

Les deux scènes des trois « sœurs fatales » sont particulièrement réussies.
Petites bulles de beauté dans cette noirceur, moments de surnaturel poétique et décalé, vaporeux, qui font d’elles trois elfes ambiguës presque enfantins et c’est tout l’univers shakespearien qui nous envahit.
Les fondus enchaînés et la bande son finissent par donner à ce spectacle un rythme cinématographique, nous sommes happés et emportés dans une intensité tragique de haut vol. Courez vite vous perdre dans la noirceur de ces âmes, vous émerveiller de ce conte maudit, de ce cauchemar fantastique. (Billetréduc)

Crime et chatiment 2006Sur Crime et Châtiment, de Dostoïevski

Grand maître du burlesque, Serge Poncelet met en scène une étonnante adaptation de l'œuvre de Dostoïevski, qui emprunte au cinéma muet ses codes narratifs et visuels. La tonalité clownesque délivre de tout pathos un fait divers qui en devient remarquable d'humour et de fantaisie. Ensorcelant ! (L'Express)

Cette relecture de l'œuvre de Dostoïevski ne manque pas de piment. Elle devient une gigantesque fresque cinématographique. Bienvenue dans le monde du fantastique. Tantôt pantins et clowns, tantôt émouvants et plus romantiques, ils sont huit à incarner plus de trente personnages. Avec talent et conviction, ils créent le suspense et rendent l'énigme de cette histoire plus vivante que jamais. (Pariscope)

Pari tenu par cette équipe qui nous offre là une adaptation audacieuse, originale et pour le moins insolite du roman... Leur source d'inspiration reste le théâtre expressionniste allemand et la grande épopée du cinéma muet, avec des clins d'œil à Chaplin et Buster Keaton... (Actualité Juive Hebdo)

Crime et chatiment 2006Une mise en scène fantastique, dans tous les sens du terme, qui réussit la prouesse de susciter effroi, compassion, souffrance avec des procédés burlesques parfaitement maîtrisés. Les acteurs campent des personnages attachants qui semblent tout droit sortis des faubourgs de Pétersbourg. La performance réside dans la capacité de chacun d'eux à créer un réel univers autour de son personnage. (Théâtrothèque.com)

Ici nous ne passons pas du rire aux larmes en référence à la vision que nous avons de l'âme slave, mais le rire et les larmes sont constamment imbriqués. Les idées foisonnent, le rythme est effréné, tout est réglé comme un ballet qui n'exclurait pas les nouvelles trouvailles... Presque deux heures de plaisir intense. (Théâtres et Toiles)

C'est un peu comme les tableaux de Chagall avec des acrobates bariolés. A huit comédiens, ils sont le genre humain avec le bien, le mal, la misère et l'amour. (Revue-Spectacle.Com)

Génie de la mise en scène et de la scénographie... performance des acteurs. (Vaucluse Hebdo)

Un immense travail corporel. Si vous doutez, allez le voir ! (La Marseillaise)

Un des meilleurs spectacles du Festival d'Avignon (Théâtral)

Sur QuiQuoiOù :

Ancien comédien du Théâtre du Soleil d'Ariane Mnouchkine, Serge Poncelet est aujourd'hui metteur en scène, spécialiste du jeu masqué, du clown et du burlesque... Un bonheur et un talent non dissimulés des deux acteurs... une petite histoire de tendresse pour un art qui résiste... Il faut aller le voir. (Nord Eclair)

QuiQuoiOù : une auguste lumière !... Surprenant... C'est aussi un cruel face à face où le rire masque bien souvent la peur du vide, l'angoisse de ne pouvoir passer de l'autre côté du miroir. Un metteur en scène exigeant et scrupuleux... Quand on aime, on adore ! (La Voix du Nord)

Les comédiens se transforment en mimes, en acteurs burlesques, en bruiteurs... Belle lettre d'amour adressée au cinéma d'hier, QuiQuoiOù séduit par l'émotion et la tendresse qui s'en dégagent. Serge Poncelet parvient aussi à matérialiser la fuite du temps, à distiller une implacable mélancolie et une poésie en demi-teintes : d'où la force et la beauté de cette création. (Le Courrier Picard)

Juste un criSur Juste un Cri :

Voilà un vrai bijou qui nous est servi par le Théâtre Yunqué... Le pire serait de passer à côté de ce spectacle... ce serait se priver d'un moment de théâtre fort et tonifiant... Rire quasi-chaplinesque. (L'Humanité)

Quelques artisans du théâtre persistent à considérer leur art comme un moyen d'action. Serge Poncelet est de ceux-là... mêlant la tragédie à la comédie burlesque ou musicale. (L'Evénement du Jeudi)

Du très bon théâtre... Serge Poncelet esquisse des errances, des ébauches et des fragments de vie dérisoires qui saisissent à fond l'indifférence, la souffrance et la peur. Mais ici, rien n'est jamais triste... Car Poncelet a suffisamment d'humour et de pudeur pour ne pas trahir la douleur. La réussite de ce spectacle qui n'invente rien mais qui dit tout est peut-être là : dans sa manière de nous toucher avec des mots simples et par quelques battements de cœur. Il y a quelque chose de juste, de grave, de poétique et de drôle dans ce petit théâtre de l'absurde, du social et de l'humain. (La Terrasse)

Serge Poncelet a écrit en recréant avec ses acteurs l'art de la survie. On sent dans leurs déplacements qu'ils sont en perpétuel état d'urgence. Le corps en alerte, l'âme en naufrage, ils surfent sur les vagues de la misère avec une redoutable énergie. (Panorama du Médecin)

Juste un cri

Il y a beaucoup de tendresse dans ce spectacle. L'humanité commence là, je crois. Allez voir ce spectacle... ça vous donnera envie justement de sourire un peu plus aux gens. (Fréquence Prostestante)

L'humour ravageur devient cynique et fait du spectateur le témoin de scènes âpres, tranchantes, mais si vraies. Cette vérité est le maître-mot de la compagnie Yunqué qui défend dans sa façon de travailler un théâtre citoyen. (Le Souffleur)

Serge Poncelet

Sur JeKill :

Masque blanc, précision et finesse, Serge Poncelet narre l'histoire du fameux docteur dans une atmosphère expressionniste. Intriguant, il subjugue par sa maîtrise du jeu, par le dosage subtil des techniques, par ce visage qui navigue dans ces rêves impossibles, provoque tantôt l'inquiétude, tantôt l'effroi. (Le Soir)

Quasi seul en scène, Serge Poncelet tient son rôle intense tout au long du spectacle. Chapeau pour la performance. (Vers l'Avenir)

 

LOCATION D’ESPACE DE RÉPÉTITION

L'EMBRASURE : grande salle de 300 m2 avec toutes commodités (parquet chêne, loges, douches, cuisine équipée, accueil, coin-repas) à Montreuil (Ile-de-France) à côté du métro Mairie de Montreuil.
L'EMBRASURE peut également être louée pour vos stages, ateliers, répétitions, auditions, casting...
Renseignements au 01 43 55 21 23 ou mail.